jeudi 30 août 2012

Alert! In Pakistan, a MOM fights that her daughter is not condemned to the death penalty by the authorities. It is very important to sign the petition!
August 30, 2012 by lagazettedeputeaux. Change
Dear friends, dear friends,
In 48 hours, my daughter is scheduled to appear before a Pakistani court for blasphemy and risk the death penalty. My innocent daughter has fought all his life against its DS - it deserves any punishment. Please, help me to save my daughter.Sign the petition to president Zardari to support my call to protect religious minorities:
Last week, a mob threatened to burn alive my daughter, and within 48 hours, a judge will determine whether she should be freed or remain in prison. Rimsha is a girl with trisomy 21, who at the time often does not control everything it does. Yet, here in Pakistan, police accused him of desecrating the Koran, and we fear for his life.
It is held in this moment in a high-security prison, and in a few hours, she is scheduled to appear in court and she will answer of blasphemy in Pakistan can be punished with the death penalty. We are a poor family of the Christian faith, helpless against the mob against my daughter. Many other families have been the subject of similar intimidation that have forced them to flee or to live in fear. But the emotion in the world by Rimsha history has encouraged some Pakistani Muslim leaders to denounce this injustice and eventually attract the attention of President Zardari.
Please, help me to create a worldwide solidarity movement in support of Rimsha, my daughter. I call you to sign my petition to president Zardari to save Rimsha and also obtain protection for my family and all vulnerable families belonging to religious minorities. Avaaz will be the echo of this campaign to the Pakistani and international media, to which all political leaders in Pakistan are attentive:
http://www.Avaaz.org/fr/pakistan_sauvez_ma_fillec/?bgjnkdb & v = 17459
A drunken crowd of anger claimed the arrest of my daughter after an imam from the neighbourhood had preached publicly against it, stating that she had desecrated the Koran. Several individuals were then threatened with the run and burn the houses of Christians in our community. I pray that at his hearing Saturday, the charges against her be dropped and that it can return with us.
Our family is in danger of death, even the simple fact to the anti-blasphemy laws in Pakistan may be fatal - last year, the Pakistani Minister for minorities was murdered after the abolition of the death penalty for blasphemy. The situation is so volatile that many Christian neighbors in our slums in Islamabad had to flee their homes.
We respect the freedom of worship of each. We hope that our daughter and our
community are safe. If only this had never happened! We are pleased that the ulema Council, which brings together academics and Muslim dignitaries here in Pakistan, is expressed for example on the subject: "We do not see anyone overcome injustice." "We will work to put an end to the climate of fear". With your help, we can not only make free Rimsha, but also make the incident the beginning of mutual understanding between the communities in Pakistan. I ask you to sign this petition and pass it on to all your friends.
http://www.Avaaz.org/fr/pakistan_sauvez_ma_fillec/?bgjnkdb & v = 17459
With hope and determination.
Misrek Masih and the Avaaz team
P.S.: This petition was launched on the new Site of Petitions citizens of Avaaz, where you can quickly and easily create a petition on a cause that you heart. To start your own, click here: http://www.avaaz.org/fr/petition/start_a_petition/?bv17459
MORE INFORMATION
In Pakistan, a young Christian is imprisoned for blasphemy (the cross) http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Monde/Au-Pakistan-une-jeune-chretienne-est-emprisonnee-pour-blaspheme-_EG_-2012-08-20-844236
Pakistan: Rimsha could escape prison (live morning) http://www.directmatin.fr/monde/2012-08-30/pakistan-rimsha-pourrait-echapper-la-prison-92114
Pakistan: the young Christian accused of blasphemy is supported by certain ulema (RFI) http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20120828-pakistan-jeune-chretienne-accusee-blaspheme-soutenue-oulemas
Pakistan/blasphemy: Muslim officials defend the young Christian (Romandie) http://www.romandie.com/news/n/_Pakistanblaspheme__des_dignitaires_musulmans_defendent_la_jeune_chretienne90280820121527.asp
Pakistan: an imam accused the young Christian for making express blaspheme (Le Parisien) http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/pakistan-un-imam-accuse-la-jeune-chretienne-d-avoir-fait-expres-de-blasphemer-24-08-2012-2135872.php
In Pakistan, the antiblaspheme Act continues its ravages (release) http://www.liberation.fr/monde/2012/08/27/au-pakistan-la-loi-antiblaspheme-continue-ses-ravages_842122

mercredi 29 août 2012

Enfance : réforme de la protection de l'enfance

Enfance : réforme de la protection de l'enfance
(Les informations concernant les réunions à venir ont un caractère prévisionnel et sont susceptibles d'être modifiées)




Loi n° 2007-293 du 5 mars 2007 réformant la protection de l'enfance publiée au Journal Officiel du 6 mars 2007 [sur le site Légifrance] Tableau de concordance entre les articles de la loi et les articles examinés en cours de discussion (format PDF)

Travaux préparatoires
Projet de loi réformant la protection de l'enfance, n° 330, déposé le 3 mai 2006
et renvoyé à la commission des affaires sociales

Travaux des commissions

- commission des affaires sociales
La Commission saisie au fond a nommé M. André Lardeux rapporteur le 31 mai 2006
Rapport n° 393 déposé le 14 juin 2006 par M. André Lardeux

Discussion en séance publique au cours des séances des mardi 20 et mercredi 21 juin 2006
Projet de loi réformant la protection de l'enfance, adopté en 1ère lecture par le Sénat le 21 juin 2006 , TA n° 110
Assemblée nationale - 1ère lecture
Projet de loi , adopté par le Sénat, réformant la protection de l'enfance, n° 3184, déposé le 22 juin 2006
et renvoyé à la commission des affaires culturelles, familiales et sociales

Amendements
- Amendements déposés sur le texte n° 3184
- Recherche multicritère

Travaux des commissions

- commission des affaires culturelles
La Commission saisie au fond a nommé Mme Valérie Pecresse rapporteur le 27 juin 2006
Examen du texte au cours de la réunion du 5 juillet 2006 à 14 heures 45
Rapport n° 3256 déposé le 5 juillet 2006 par Mme Valérie Pecresse

Discussion en séance publique
2e séance du mardi 9 janvier 2007 compte rendu analytique - compte rendu intégral
3e séance du mardi 9 janvier 2007 compte rendu analytique - compte rendu intégral
1ère séance du mercredi 10 janvier 2007 compte rendu analytique - compte rendu intégral
2e séance du mercredi 10 janvier 2007 compte rendu analytique - compte rendu intégral

Projet de loi réformant la protection de l'enfance, modifié en 1ère lecture par l'Assemblée nationale le 10 janvier 2007 , TA n° 647
Projet de loi , modifié, par l'Assemblée nationale, réformant la protection de l'enfance, n° 154, déposé le 11 janvier 2007
et renvoyé à la commission des affaires sociales

Travaux des commissions

- commission des affaires sociales
Rapport n° 205 déposé le 1er février 2007 par M. André Lardeux

Discussion en séance publique au cours de la séance du lundi 12 février 2007
Projet de loi réformant la protection de l'enfance, adopté avec modifications en 2e lecture par le Sénat le 12 février 2007 , TA n° 68
Assemblée nationale - 2e lecture
Projet de loi , adopté avec modification, par le Sénat, en 2e lecture, réformant la protection de l'enfance, n° 3683, déposé le 13 février 2007
et renvoyé à la commission des affaires culturelles, familiales et sociales

Travaux des commissions

- commission des affaires culturelles
Examen du texte au cours de la réunion du 13 février 2007 à 14 heures 15
Rapport n° 3687 déposé le 13 février 2007 (mis en ligne le 19 février 2007 à 12 heures 45) par Mme Valérie Pecresse

Discussion en séance publique
2e séance du jeudi 22 février 2007 compte rendu analytique - compte rendu intégral

Projet de loi réformant la protection de l'enfance, adopté sans modification en 2e lecture par l'Assemblée nationale le 22 février 2007 , TA n° 700


En savoir plus
Liens utiles
Extrait du compte rendu du Conseil des ministres
Principales dispositions du texte
Principaux amendements des commissions

Liens utiles


Extrait du compte rendu du Conseil des ministres du 03/05/06


Le ministre délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille a présenté un projet de loi réformant la protection de l’enfance.

Depuis les lois de décentralisation, les conseils généraux assument la responsabilité de l’aide sociale à l’enfance et y consacrent une part importante de leur budget (cinq milliards d’euros par an) : plus de 150 000 professionnels interviennent dans le domaine social, médico-social, et éducatif.

Le projet de loi réformant la protection de l’enfance vise à leur donner de nouveaux moyens pour exercer cette responsabilité essentielle en mettant en œuvre les trois objectifs prioritaires suivants : renforcer la prévention, organiser le signalement des situations à risque et diversifier les actions et les modes de prise en charge des enfants.

Afin de renforcer la prévention, le projet de loi organise des bilans réguliers aux moments essentiels du développement de l’enfant. Ces points de contact entre l’enfant, la famille et les professionnels visent à accompagner, aider et soutenir les familles afin d’éviter que la situation d’un enfant ne se détériore.

Pour permettre une réaction fiable et rapide aux informations préoccupantes concernant la situation d’un mineur, le projet de loi organise la procédure de signalement. A cette fin, il crée dans chaque département une cellule de signalement composée de professionnels de la protection de l’enfance. L’objectif est de réunir toutes les informations permettant d’apprécier la situation dans sa globalité, de l’évaluer et de proposer des réponses de manière collégiale. Le projet de loi rend possible cette collégialité en autorisant le partage d’informations entre professionnels du travail social et de la protection de l’enfance habilités au secret professionnel. En dehors de cet aménagement, la règle du secret professionnel est réaffirmée, dans l’intérêt même des enfants et des familles, pour préserver la confiance indispensable à la conduite du travail social.

Enfin, le projet de loi diversifie les modes de prise en charge des enfants. Il ouvre l’éventail des possibilités entre le maintien de l’enfant dans sa famille et le placement en établissement ou en famille d’accueil : chaque enfant doit pouvoir bénéficier de la solution la plus adaptée à sa situation. Ainsi, le projet de loi permet des accueils ponctuels ou périodiques hors du toit familial quand les moments de crise nécessitent la mise à distance de l’enfant.

La réforme a été élaborée en étroite concertation avec les principaux acteurs de la protection de l’enfance, au premier rang desquels les départements. Le Gouvernement sera particulièrement attentif à ce que cette large concertation se poursuive lors des débats parlementaires, de l’élaboration des textes réglementaires ainsi que de la définition des bonnes pratiques et des référentiels prévus dans le programme accompagnant le projet de loi.

Principales dispositions du texte


Article 1er
Missions de la protection l’enfance et définition du rôle de la protection maternelle et infantile (PMI).

Article 2
Prévention des risques de danger pour l’enfant.

Article 3
Conditions de dispenses de l’obligation alimentaire.

Article 4
Obligation pour le juge d’entendre l’enfant qui en fait la demande au cours d’une procédure qui le concerne.

Article 4 bis
Information du président du conseil général dans la perspective d’une demande d’agrément en vue d’adoption.

Article 5
Signalement des mineurs en danger.

Articles 6 et 10
Coordination de la protection administrative et judiciaire des mineurs en danger.

Article 7
Secret professionnel partagé.

Article 8
Création d’un observatoire de la protection de l’enfance dans chaque département.

Article 9
« Accueil de mineurs à la journée » dans le cadre d’un placement judiciaire.

Article 11
Obligation pour le service de l’aide sociale à l’enfance (ASE) d’élaborer un document, cosigné par le président de conseil général et les parents ou les représentants légaux d’un mineur, définissant les conditions de prise en charge de celui-ci.

Article 13
Nouvelles dispositions en matière d’accueil des enfants placés.

Article 14
Sécurité des enfants placés en structure d’accueil.

Article 17
Création d’un fonds national de financement de la protection de l’enfance.

Principaux amendements des commissions


TRAVAUX DE LA COMMISSION DES AFFAIRES CULTURELLES, FAMILIALES ET SOCIALES
Adoption du projet de loi le 5 juillet 2006.
Rapport n° 3256 de Mme Valérie Pecresse, UMP, Yvelines.
Principaux amendements adoptés par la commission :
Article 1er
Visite médicale obligatoire pour tous les enfants au cours de leurs sixième, neuvième, douzième et quinzièmes années (rapporteure).
Article additionnel après l’article 3
Interdiction d’installer un établissement dont l’activité est la vente ou la mise à disposition du public de publications ou de produits dont la vente aux mineurs est prohibée à moins de 200 mètres d’un établissement recevant habituellement des mineurs (M. Bernard Perrut, UMP, Rhône).
Article additionnel avant l’article 4
Droit de l’enfant d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants (rapporteure).
Article 4
Possibilité pour l’enfant de refuser d’être entendu par le juge (rapporteure).
Le juge s’assure de l’information du mineur quant à son droit à être entendu et son droit à être représenté par un avocat (rapporteure et Mme Patricia Adam, socialiste, Finistère).
Possibilité de saisine directe du juge aux affaires familiales par l’enfant, ayant la capacité de discernement, à propos de l’exercice de l’autorité parentale le concernant (Mme Patricia Adam, socialiste, Finistère).
Article additionnel après l’article 17
Création d’une délégation parlementaire aux droits de l’enfant dans chacune des deux assemblées du Parlement (rapporteure).
Voir le compte rendu n° 71 de la commission.

vendredi 24 août 2012

will vote for Obama in 2012.

will vote for Obama in 2012.
Consider the question.

Natasha Jordan asks - Is it sinking in yet?
They all (republicans) want women to carry to term and have their rapist’s baby, while they heal from being beaten, tortured, stabbed and sometimes even shot. It does not matter if she is near death or not. It does not matter if it was even her own father who got her pregnant. The Republican's made it an official part of their party platform for the convention. No abortion for rape or incest. Can you imagine if this happens? Your daughter, girlfriend, sister, mother or wife or even YOU would be forced by law to give birth. FORCED by LAW.

...
I suggest you start paying attention. This is NOT 'smaller' government to barbarically force ANY woman or young girl to do this. This is not the role our government should be taking. People need jobs. Our roads and bridges built in 1950 need repair, our children need better education, our poor and veteran's need our help. This is not the party of what is good for the people of our nation. This is the party of false morality, because once you are born, you do not matter.

Image by: We the people via Strong Intelligent Women Choosing Equality and Freedom
Note: The picture used by Strong Intelligent Women Choosing Equality and Freedom is of an 18 year old woman that was beaten.


Remember pro-choice does not mean pro-abortion.
Afficher la suite
J'ai commencé à ne pas publier cette photo graphique ou. Cependant, nous devons affronter la vérité et la lutte pour nos droits.

Natasha Jordan demande - est ce naufrage en encore ?
Ils ont tous (républicains) veulent femmes de mener à terme et d'avoir des bébé de leur violeur, alors qu'ils guérissent d'être battu, torturé, poignardé et parfois même tir. Il n'importe pas si elle est proche de la mort ou non. Il n'importe pas si c'était même son propre père qui l'a elle est enceinte. Le républicain du a une partie officielle de leur parti pour la convention. Pas l'avortement pour viol ou inceste. Pouvez-vous imaginer si cela se produit ? Votre fille, petite amie, sœur, mère ou épouse ou même vous aurait contraint par la Loi pour donner naissance. CONTRAINT par la Loi.

Je suggère que vous démarrez une attention. Ce n'est pas « petit » gouvernement de forcer sauvagement toute femme ou jeune fille pour ce faire. Ce n'est pas le rôle de que notre gouvernement doit prendre. Gens ont besoin d'emplois. Nos routes et nos ponts construits en 1950 ont besoin de réparation, nos enfants doivent mieux l'éducation, nos pauvres et nécessité d'ancien combattant, notre aide. Ce n'est pas la partie de ce qui est bon pour les gens de notre nation. Il s'agit de la partie de la fausse morale, parce qu'une fois que vous sont nés, vous sans importance.

Image par : nous, le peuple via fort intelligentes femmes choisissant l'égalité et la liberté
Note : L'âge de la femme sur la photo était de 18.
 

mercredi 22 août 2012

Le père qui aurait étranglé son bébé retrouvé pendu

Le père qui aurait étranglé son bébé retrouvé pendu

Par lefigaro.fr
.
 

Crédits photo : LAURENT DARD/AFP

Cet homme avait été interpellé dimanche soir après la découverte du corps de son fils dans une chambre d’hôtel. Mais il s’était ensuite échappé de l’hôpital où il avait été admis à cause de son état de santé.
Dimanche matin, un employé de l’hôtel Campanile zone Bastillac-Sud de Tarbes (Hautes-Pyrénées) découvre une chambre fortement en désordre ainsi que des traces de sang. Celui-ci décide d’alerter la police, qui découvre le corps sans vie d’un bébé de cinq mois.
Le vice-procureur François Jardin n’a guère laissé de doute sur l’auteur de l’infanticide. «Selon les premières constatations, le bébé a été étranglé par son père», a-t-il déclaré, avant d’ajouter qu’un écrit revendiquant son acte avait été découvert. Le magistrat n’a cependant pas révélé la teneur exacte de celui-ci ni les raisons pour lesquelles le père aurait tué son fils.
Rapidement interpellé dimanche soir après la découverte du corps de son fils, l’homme est admis à l’hôpital à cause de son état de santé, à la fois physique et psychologique. Pourtant, il réussit à s’échapper dans la nuit de dimanche à lundi, dans des circonstances encore indéterminées. Selon Europe 1, le père a finalement été retrouvé pendu à proximité de l’établissement hospitalier.
La mère et son bébé faisaient l’objet d’une mesure de protection et vivaient à ce titre dans une maison maternelle accueillant les familles monoparentales dans les environs de Tarbes, écrivait mardi le quotidien La Dépêche du Midi . Muni d’une autorisation d’un juge compétent, le père était venu chercher l’enfant vendredi en fin d’après-midi.
(avec AFP)

samedi 18 août 2012

وفاة امرأة وكان القتال لحضانة ابنته "مثيرة للقلق"

وفاة امرأة وكان القتال لحضانة ابنته "مثيرة للقلق"
18 أغسطس 2012 قبل لاجازيتيديبوتو. التغيير
وفاة امرأة وكان القتال لحضانة ابنته "مثيرة للقلق"
كانديس كوهن-عانين وابنه أية
كوهين-عانين كانديس توفي دون أن تكون قادرة على استعراض ابنته أية خطف في 2008 من قبل والده، أمير سعودي. . الفرنسية من 35 عاماً، الذي كان يقاتل لحضانة أية 11 عاماً، توفي اليوم الخميس في منزله في باريس في "ظروف غامضة" وفقا له الناشر. يجب إجراء تشريح لجثة وتحقيق سوف تكون بروتشاينيمينتوفيرتي تحديد الأسباب الحقيقية للوفاة، وتحديد طبعات الأرخبيل، الذي نشر كتابة "تجعلني ابنتي!"
وكان امرأة شابه تنقيح ابنته. وقالت أنها قد حصلت على حق الزيارة وسيتوجه مطلع أيلول/سبتمبر إلى الرياض لمشاهدة أية، وشرح المحرر في نشرة صحفية. في كانون الثاني/يناير 2012، دي دي المحكمة الابتدائية باريس كان الواقع أصدر قرارا أول مؤيدين له وطالب بذل الطفل لوالدته. الأب فضح سيصدر ضده توقيف دولية تبرر استمرار إطلاق سراح.
كانديس كوهن-عانين، اليهود، اجتمع 90 المبكر في لندن حيث أنها كان يمضي عطلته، الأمير سطام بن خالد بن ناصر آل سعود. وقد صرحت قصته "في جعل لي ابنتي!"، صدر في تشرين الأول/أكتوبر 2011. كتاب كتب بالتعاون مع جان-كلود الفاسي الإشادة على مدونته "لهذه الأم إلى الشجاعة المثالية، معهم قد المشتركة حيث العديد من الاختبارات والذين سقط ابدأ في الشعور بالإحباط".
LeParisien.fr
رابطة أوروبا التمويل والبكاء ونحن بيسينتونس عن خالص التعازي لابنتها

Décès «troublant» d’une femme qui se battait pour la garde de sa fille

Décès «troublant» d’une femme qui se battait pour la garde de sa fille

Décès «troublant» d’une femme qui se battait pour la garde de sa fille



Candice Cohen-Ahnine et sa fille Aya

Candice Cohen-Ahnine est morte sans avoir pu revoir sa fille Aya enlevée en 2008 par son père, un prince saoudien. . La Française de 35 ans, qui se battait pour la garde de Aya âgée de 11 ans, est décédée jeudi à son domicile parisien dans «des circonstances troubles» selon son éditeur. Une autopsie doit être pratiquée et une enquête va être prochainementouverte pour déterminer les causes exactes du décès, précisent les éditions de l’Archipel, qui avaient publié son livre «Rendez-moi ma fille!».

La jeune femme devait revoir sa fille. Elle avait obtenu un droit de visite et devait se rendre début septembre à Ryad pour voir Aya, a expliqué l’éditeur dans un communiqué. En janvier 2012, le Tribunal de Grande Instance de Paris avait en effet délivré une première décision en sa faveur et exigé que l’enfant soit rendue à sa mère. Le père s’exposant à ce que soit délivré contre lui un mandat d’arrêt international, poursuit le communiqué.
Candice Cohen-Ahnine, de confession juive, avait rencontré début 90 à Londres où elle était en vacances, le prince saoudien Sattam bin Khaled bin Nasser al-Saoud. Elle avait raconté son histoire «dans Rendez-moi ma fille!», paru en octobre 2011. Un livre écrit avec la collaboration de Jean-Claude Elfassi qui rend hommage sur son blog «à cette maman au courage exemplaire, avec qui j’ai partagé tant d’épreuves et qui n’a jamais sombré dans le découragement».

LeParisien.fr
l'association sefca europe et en pleure nous péesentons nos sincères condoléances à sa fille Aya

"Disturbing" death of a woman who was fighting for custody of his daughter

"Disturbing" death of a woman who was fighting for custody of his daughter
August 18, 2012 by lagazettedeputeaux.
"Disturbing" death of a woman who was fighting for custody of his daughter
Candice Cohen-Ahnine and daughter Aya
Candice Cohen-Ahnine died without being able to review his daughter Aya kidnapped in 2008 by his father, a Saudi prince. . The French of 35 years, who was fighting for custody of Aya 11 years old, died Thursday at his Paris home in "murky circumstances" according to his publisher. An autopsy must be performed and an investigation will be prochainementouverte to determine the exact causes of death, specify the editions of the archipelago, who published his book "make me my daughter!"
The young woman had to revise his daughter. She had obtained the right of visit and was to travel early September to Riyadh to see Aya, explained the editor in a press release. In January 2012, the Tribunal de Grande Instance de Paris had indeed issued a first decision in his favour and demanded that the child is made to his mother. The father exposing to be issued against him an international arrest warrant, continuing the release.
Candice Cohen-Ahnine, Jewish, met early 90 in London where she was vacationing, the Saudi prince Sattam bin Khaled bin Nasser al-Saud. She had told his story "in make me my daughter!", released in October 2011. A book written in collaboration with Jean-Claude Elfassi paying tribute on his blog "to this mother to the exemplary courage, with whom I have shared so many tests and who never fell into discouragement".
LeParisien.fr
the sefca europe association and to cry we peesentons our sincere condolences to her daughter Aya

jeudi 16 août 2012

de la part des enfanst lorentz


Paroles et traduction de “Don’t Cry Daddy”
Don’t Cry Daddy (Ne Pleure Pas Papa)
Today I stumbled from my bed
Aujourd’hui, je suis tombé du lit
With thunder crashing in my head
Avec le tonnerre qui grondait dans ma tête
My pillow still wet
Mon oreiller encore mouillé
From last night’s tears
Des pleurs d’hier soir,
And as I think of giving up
Et comme je pense à abandonner
A voice inside my coffee cup
Une voix dans ma tasse de café
Kept crying out
Ne cessait de crier
And ringing in my ears
Et de répéter dans mes oreilles
[Chorus]
[Refrain]
Don’t cry daddy
Ne pleure pas papa
Daddy, please don’t cry
Papa, s’il-te-plaît ne pleure pas
Daddy, you’ve still got me and little Tommy
Papa, tu m’as toujours moi, et Tommy aussi
Together we’ll find a brand new mommy
Ensemble nous trouverons une toute nouvelle maman
Daddy, daddy, please laugh again
Papa, papa, s’il-te-plaît ris de nouveau
Daddy ride us on your back again
Papa, fais-nous promener sur ton dos encore
Oh, daddy, please don’t cry
Oh, papa, s’il-te-plaît ne pleure pas
Don’t cry
Ne pleure pas
Why are children always first
Pourquoi les enfants sont-ils toujours les premiers
To feel the pain and hurt the worst
À ressentir la douleur et les pires blessures
It’s true, but somehow
C’est vrai, d’une certaine façon
It just don’t seem right
Ce n’est pas juste
(It just don’t seem right)
(Ça ne semble pas correct)
Cause every time I cry I know
Parce que chaque fois que je pleure je sais
It hurts my little children so
Que ça fait si mal à mes petits enfants
I wonder will it be the same tonight
Je me demande si ce sera la même chose ce soir
[Chorus] (x2)
[Refrain] (x2)
Oh, daddy, please don’t cry, oh oh
Oh, papa, s’il-te-plaît ne pleure pas, oh oh

mercredi 15 août 2012

Commission Supérieure de la Magistrature
20 Av. de Ségur
75007 Paris
Referral by motion cause of suspicion legitimate section 364. S. 356 S. 357 S. 358
Referral by motion to the Court of cassation. S. 1031-1 Art.
For: Mrs Moreau Christel
Mr Lorentz Emeric
Association SEFCA Europe
5 Rue Théophile Leducq 93500 Pantin
APPELLANTS
Against: Mrs. Armelle Guiraud judge of the children with the tribunal for Evry child 9 rue de Mazières 91012 Cedex; Martine Novella Judge for child at the tribunal de grande instance of Nanterre 179/191 Avenue Joliot Curie Nanterre cedex ;Mr Pierre Pedron Vice President, justice for children to the Court of Nanterre; Mr fumble;Mr Becdelièvre;Ms. Favereau magistrate with the 7th Chamber in matters educational Court of appeal of Versailles 5 rue Carnot 78011 Versailles cedex;Ms. Pascale Gaulard j.; Ms. Frédérique Agostini 1era Vice President Assistant. Mr Manuel Pérez Vice-president tribunal de grande instance of Nanterre 179/191 Avenue Joliot Curie Nanterre cedex
Respondents
The modalities of perception and the justifications for the acquittal of the law laid down by Decree in Council of State.
The Constitutional Council said that the perception of rights 35 euros and 150 euros, is consistent with the constitution in its Decision No. 2012-231/234 QPC on 13 April 2012.
Stamp 35 euros

------------------------
LIKE A Mr magistrate
(1) The request for dismissal for cause of suspicion legitimate under article 364 s. 356 S. 357 S. 358
He in fact referral is requested because of recusal in the person of several judges of the Court the JDE of NANTAIRE and the Court of appeal of VERSAILLES, is carried out as a discharge for cause of legitimate suspicion, after each of the disqualified judges has responded to or let expire the response time. Provisions specific to the decision-making in part based on the denial of justice. Version in force on June 22, 2012
1.Formal admissibility to articles 1-1031, 1031-2 of the code of civil procedure
2. THE EXTINCTION OF THE INSTANCE BY FAILURE TO COMPLY WITH THE TIME LIMITS
This character of the lapse is explained in procedural law by the idea of sanction152 (**).
3.The consistency of the interpretation of the texts governing the magistrate occupation
In State. It is up to the parties to the proceedings at the forms and deadlines, and it is therefore logical that the sanction of such guidelines is of public order. This command is indeed often the power and even the duty of the judge to raise Office this way.
The lapse, appears in private law, most often as an instrument for the protection of the general interest linked to the proper functioning of the public service of justice; in other rare cases it tends to protect a part of the manoeuvres of his adversaire154
4 Admissibility under article l. 441 - 1 of the code of judicial organization
5 Denial of justice
6. We ask according to section 341-4 of the civil procedure code and article 47 and article 97 of the code of civil procedure, the top time of our record, and challenge of the magistrate.
…/…
QPC articles 6 and 16 involving proceedings must be fair and equitable and ensure the balance of rights of the parties;
S. 61 1 Of the CONSTITUTION française, 1st paragraph
"When, on the occasion of a case pending before a court, it is argued that a legislative provision infringes the rights and freedoms guaranteed by the Constitution, the Constitutional Council can be seized of this question on reference of the Council of State or the Court of Cassation, which pronounces within a specified period.".
REMINDER
The duties of the magistrate and the oath
Set professional standards which is now applied to the magistrates, it is search that the exercise of the profession imposes as special ethical obligations being understood that outside these rules of criminal law and civil law, apply to the magistrate at the same of every citizen.
****
With regard to the rules of the civil law applied to the magistrate in the exercise of his judicial activity, it should be noted that civil liability may be sought in the action for recovery of the State whose responsibility would have committed as a result of a defective functioning of the public service of justice, for foul detachable (article L.781-1 of the Code of judicial organization).
…./….
With regard to the rules of criminal law, they apply to the magistrate in the exercise of his activity in various cases, such corruption (article 434-9 of the penal Code) the denial of justice (article 434-7-1) the abuse of authority (section 432-1) the violation of professional secrecy (226-13) etc... For the rest, the Court of cassation made result from the constitutional principle of independence of the judges, the result that "their adjudicative decisions cannot be criticized, both in their reasons that in their".
"device, by the sole exercise of the remedies provided by law." that "this principle, that of deliberative secrecy are obstacle that a court decision may be considered as constituting in itself a crime or an offence", adding "it is same as the magistrate of the Prosecutor's Office.". Therefore that it is of principle that the Crown takes the requisitions and freely develops the observations that he believed adequate for the good of justice. »
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Order n ° 58-1270 of 22 December 1958 change with the status of the Judiciary Organization Act defines the professional obligations of the magistrate of the four main provisions.
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First article 6 contains the oath that any magistrate upon appointment to his 1st position and before: "I swear to well and faithfully perform my duties, to religiously maintain the secrecy of the deliberations of and lead me in as a worthy and loyal magistrate.".
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Then, section 10 provides that "any political deliberation is prohibited in the judiciary - all manifestations of hostility to the principle or the form of the Government of the Republic is"
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Prohibited magistrates, and any demonstration of political nature incompatible with the proviso that impose duties - is also impeding the functioning of the courts. »
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Then article 43 defines the disciplinary: "any breach by a magistrate to the duties of his State to the honour, delicacy or dignity, constitutes a disciplinary fault - this fault is assessed for a member of the Prosecutor's Office have a magistrate in the framework of the central administration of the Ministry of justice with the obligations flowing from the hierarchical subordination.".
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By the decision of May 11, 2010, the Criminal Chamber recognizes that single infringement of the rights of the defence, in the case of the principle of equality of arms, is likely to lead to the nullity of the criminal procedure Article 6 of the European Convention of the rights of human - right to a fair trial
"1. Every person has a right to that his case be heard fairly, publicly and in a timely, by independent and impartial tribunal established by law, which will decide, or challenges on its rights and obligations of a civil nature, to the merits of any charge in criminal matters against it.". The judgment must be made publicly, but access to the courtroom may be barred to the press and to the public during all or part of the trial
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In the interests of morals, public order or national security in a society
Democratic, where the interests of juveniles or the protection of the privacy of the parties to the trial so require, or to the extent deemed necessary by the Court, when in special circumstances the publicity would prejudice the interests of justice
In conclusion:
Finally the article 79, paragraph 1, provides that "honorary magistrates are required to reserve that their condition."
Specific texts provide the incompatibilities and prohibit a magistrate to exercise national political mandates or the European Parliament or in a jurisdiction or the magistrate had five years before, a local term or when her spouse is parliamentary.
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The disciplinary of Nanterre and judges of the Court of appeal of Versailles of the 7th special House of minors: Mrs. Armelle Guiraud. Ms. Martine Novella and Mr Pierre Pedron. Ms. Favereau; see the judgment of January 07, 2011 in the 7th House, or is not the person who delivered the judgment, but people who were not present on the day of the hearing to: Mrs.: fumble; and Becdelièvre; (article 43) is first defined without reference to the oath (section 6) which provides certain ethical obligations yet. The Higher Council of the judiciary, the Council of State on use, allow to apprehend in a casuistic way what is meant by duties of the State of the judiciary: "Honour;" Delicacy; "or dignity".
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"The CCJE wishes to emphasize that the compelling need to preserve the independence of the judges assumed that when considering the drafting of a declaration of ethical standards, it is based on two essential principles:
(i) Firstly, it should refer to the fundamental principles of ethics and assert that it is impossible to draw up an exhaustive list of prohibited the judge behaviour which would be previously defined. the principles enacted should be instruments of self-control of the judges, i.e. General rules that are guides to action.
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Also, although there is so much overlap that reciprocal effect, should the ethics remain independent of the system of discipline of judges, in the sense that the ignorance of one of these principles should not be in itself a cause of implementation set of disciplinary, civil or criminal liability; then the ethical principles should be the emanation of the judges themselves. they should be designed as an instrument of self-regulation of the body, generated by itself, allowing the judiciary,
To gain legitimacy by the exercise of functions under generally accepted ethical standards. "A broad consensus should be planned, possibly under the auspices of a person or a body referred to in paragraph 293, which could also have the task to explain and interpret the statement of principles of professional conduct".
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France, the Higher Council of the judiciary launched a reflection towards the adoption of ethical standards. The last recommendation above is for the moment followed, since a consultation is launched in the profession, with designation of representatives of the judges in each court of appeal.
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The judges have knowingly developed Parties at trial "custodial services", in a position of strength, to the detriment of another party, the parents.
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In such conditions created by judges of the children Mrs Guiraud. Novella and Mr Pedron, debates can be impartial.
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"It is fundamental that the judges of the children forget their roles of counterforce to the intervention of social services: their roles as guarantor of individual freedoms."
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The debates conducted only by judges of the children Mrs Guiraud, and Novella, and Mr Pedron, without the presence of the parents, and only the presence of social assistance to children at these hearings constitute A VIOLATION of the. IMPATIALITE is not respected article 388-1 of the civil code, neither meets the requirements of article 6 §1 of the European convention for protection of the rights of man and fundamental freedoms.
Article 6 - Right to a fair trial
Any person is entitled to that his case be heard fairly, publicly and in a reasonable time, by an independent and impartial tribunal established by law, which will decide, or challenges on its rights and obligations of a civil nature, to the merits of any charge in criminal proceedings against it. The judgment must be made
…./….
publicly, but access to the courtroom may be barred to the press and to the public during all or part of the trial in the interests of morals, public order or national security in a democratic society, where the interests of juveniles or the protection of the privacy of the parties to the trial so require, or to the extent strictly required by the tribunalwhere in special circumstances the advertising would impair the interests of justice.
*****.
Any person charged with an offence is presumed innocent until his guilt has been legally established.
Any accused is entitled inter alia to:
Be informed, within the shortest time, in a language which he understands and in detail, the nature and the cause of the charge against him;
Have the time and facilities for the preparation of his defence;
defend himself or have the assistance of an advocate of his choice and, if he has no means of paying a defender, able to be assisted free of charge by a lawyer, when the interests of justice so require; query or question witnesses and to obtain the calling and interrogation of the defence witnesses under the same conditions as the witnesses
Article 8 - Right to respect for private and family life
Any person is entitled to respect for his private and family life, his home and his correspondence.
There may be interference by a public authority in the exercise of this right only to the extent that this interference is prescribed by the Act and that it constitutes a measure which, in a democratic society, is necessary to national security, public safety, to the economic well-being of the country, the defence of the order and the prevention of criminal offencesthe protection of health or morals, or the protection of the rights and freedoms of others
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Article 13 - Right to an effective remedy
Any person whose rights and freedoms recognized in the present Convention have been violated, is entitled to an effective remedy before a national court, even though the infringement allegedly committed by persons acting in the exercise of their official duties
Such findings demonstrate the failures of the magistrates, and the denis thereof.
Article 29 - Decisions of the Chambers on the admissibility and the merits
If no decision was made under articles 27 or 28, or no decision under section 28, a house rule on the admissibility and the merits of the individual motions under section 34. The decision on admissibility may be considered separately.
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A house rule on the admissibility and the merits of the State motions under section 33. Unless the Court in exceptional cases, the decision on admissibility is made separately.
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Such methods of manipulation of children are filthy, and only a totally impartial magistrate of the parties.
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S. 82
Amended by decree 78 -62 1978-01-20 art. 16 JORF 24 January 1978
The question must, of estoppel, be motivated and submitted to the secretariat of the Court which made the decision within fifteen days of the.
If the question gives rise to charge by the secretariat, is accepted as if its author has recorded these costs.
The delivery receipt is issued.
S. 85
In support of their argument, parties may file any written submissions which they consider useful. These observations, referred by the judge, are paid to the folder.
For these reasons:
We undertake prosecutions for the following reasons:
(1) The criminally reprehensible behaviour that he has given rise to criminal prosecution.
(3) Breach or professional failure which give rise to delays taken by the judges in the performance of their missions through the use of their functions to private purposes, the behavior of a lack of impartiality.
The State professional failures present some serious, repeated, are of a disciplinary nature.
(4) I request that all orders are lifted.
The nullity of the acts to substantive irregularities. S. 117
(5) That all our children, we are made to question admissibility: "Clear;" Marie-Laure; Clara; Christophe; Charles; Louis; "Amélie and Christian Lorentz"
(6) We are asking that the leaders of the social assistance at Suresnes and Placement Rambouillet family child, be prosecuted for misappropriation of the truth, and manipulation in the same way as the Magistrates because it overrides their judgment.
(7) We are asking that each child who have been traumatized by this case, be compensated in the amount of EUR 150 000, by the State and EUR 60 000 for each child by the general Council of 92.
(8) - for the visa of articles 341 of the code of civil procedure and 6 § 1 of the Convention for the protection of the rights of man and fundamental freedoms, the finding of the causes for disqualification of judges and the invalidity of the decision of the latter for impartiality
(9) We ask that articles 47 and 97 of the civil procedure code, are respected.
(10) Articles 341-4 of the CPC; Västberga-1 of the code of judicial organization and article 226-13 for violation of professional secrecy, indeed the children Ms. Guiraud and Ms. Novella judges were disclosed on a site: "justice.cloppy.net", elements of the judicial record, (see the records to the public prosecutor of Nanterre).
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According to the Code of Civil Procedure: "as stated in section 75 of the Act No. 91-647 of 10 July 1991,"
That section 349 is dealing with the challenge acrte
If the judge opposes recusal or does not respond, the application for recusal is considered without delay by the Court of appeal or, if it is directed against an assessor of an echevinale Court, by the president of this Court pronounced without appeal.
REMINDER texts
. Under the terms of article 176 of the CCPC, "any proceedings will be extinguished by discontinuation of prosecution for three years 168 (**)". Paragraph 2 of the same text provides that "this time will be increased by 6 months in all cases where it will take place at request in continuance of instance169 (**)". Thus, when since the last act of procedure170 (**) it took more than three years, or in cases where there were held in continuance of suit demand, more than three years and 6 months, the instance is outdated and therefore extinct. However, so the lapse could actually play, a number of conditions must be met to allow its implementation.
Indeed, the lapsing of the Act is the result of a defect that's very generally of the failure to comply with a specification designed to speed up the course of the proceedings. In addition, and this is undoubtedly his characteristic, the lapse is objective; It operates normally right. This character of the lapse is explained in procedural law by the idea of sanction152 (**). The sunset appears indeed as the sanction of a lack of due diligence of the parties. It is up to the parties to the proceedings at the forms and deadlines, and it is therefore logical that the sanction of such guidelines is of public order. This command is indeed often the power and even the duty of the judge to raise Office this way
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-the lack of referral to the Court within the statutory time limit; It's here the late placement assignment before the tribunal155 (**), or the statement of appeal to the Court of appel156 (**).
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-the default appearance of the applicant; This defect causes the staleness of the citation to two conditions: the absence of justification by the applicant of a reason legitimate non-
Appearance, this justification for the judge to refer the matter to a later hearing. and the lack of judgment on the merits by comparing respondent; the
judge cannot rule on the merits at the request of the defendant and cannot proceed to office157 (**); In addition, if it is required to rule on the merits, the judge must give reasons for its decision and cannot confine itself to deny the applicant by the finding of the absence of comparution158 (**). This cause of lapse of the application is not in default of appearance of the applicant in case of appeal, the Court of cassation having decided upon that the failure of the appellant's appearance "is not sufficient to render null and void the statement of appeal" 159 (**); the Court of appeal must in this case, if the appellant was regularly summoned, that the appeal is not submitted and confirm the judgment;
-the failure of performance by the applicant of the acts of the procedure160 (**).
B / the extinction of the instance to null and void quote.
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72 Observes that the extinctive cause of the instance is the result each time a deficiency of the applicant, and non-parties. The latter before a Court of a dispute, but because of the non‑compliance of a formality required by law, in a time-limit for the proper conduct of the proceedings, his initial application is not taken into consideration. There is therefore a time for as a time to act. However, if this time escaped the applicant forced to bend to the measurement of time fixed by the law, the defendant is recognize an alternative. First branch of the alternative, the respondent wishes to terminate the instance to which it is party to that bad BRM, it is sufficient to apply to the judge the extinction to lapse. But the defendant may prefer to opt for the second branch of the alternative. He can not ask the judge to see the sunset or, and the result is the same, require a judgment on the merits, the judge having, in the latter case, than the faculty to refer the matter to a later hearing.
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The binding of the instance at the initiative of the defendant is required to the judge, despite the lapse of the citation. There is therefore a kind of unilateral control of the referral by the defendeur161 (**).
In this decision the visa of article 6 § 1 of the European Convention on human rights, the first Civil Chamber of the Court of cassation ensures that the popular adage that the cobbler is the worse shoed does not check for fair trial. Indeed, the applicant to appeal is a lawyer sued under a disciplinary procedure, which invokes an infringement of its rights of defence.
3. Any litigant is entitled inter alia to:
(a) be informed, within the shortest time, in a language which he understands and in detail, the nature and the cause of the charge against him;
(b) have time and facilities for the preparation of his defence;
(c) to defend himself or have the assistance of an advocate of his choice and, if he has no means of paying a defender, able to be assisted free of charge by a lawyer, when the interests of justice so require;
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(d) examine or question witnesses and to obtain the calling and interrogation of witnesses to discharge under the same conditions as witnesses for the prosecution;
(e) be assisted free of charge by an interpreter if he does not understand or speak the language used at the hearing. »
Civ. 1st, 9 Jul 1996., Bull. Civ. I, n°301
Civ. 1st, 25 Feb. 2010, no. 09 - 11.180.
Civ. 1st, March 11, 2010 n ° 09 - 12.453.
ECHR June 23, 1981, the account Van Leuven and De Meyer v. Belgium, no. 6878/75; 7238/75.
ECHR 18 Feb. 2010, Baccichetti v. France, no. 22584/06.
The denial of justice: article 4 of the Civil Code
The prohibition on the judge to commit a denial of justice has.The refusal of the judge to exercise his office
B. in case of denial of justice, the judge is liable to criminal sanction
II. the legal consequences of the application of article 4 of the Code Civil Customs ' expansion of the grounds of referral under the influence of European law
B. the power given to the judge hone defective laws
Summary of presentation
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The Civil Code of 1804, "civil constitution of the France" according to Dean Carbonnier, is a synthesis between the revolutionary gains and the return to order intended by Napoleon I. This
Code inherits from a suspicion that the judges have inspired the revolutionaries. The judicial power is tightly muzzled and monitored. Evidenced by section 4 which punishes the denial of justice, i.e. the refusal of the judge to rule in a case that has been submitted. Offences, the judge is subject to criminal punishment. First, this article is interpreted as repressive by the historical context. Nevertheless, with the
return to grace of judges and the expansion of their powers, its positive scope is gradually highlighted.
[...] Thus, jurisprudence for example penalizes judge that delegates to the liquidator notary to decide the amount of compensation in assessment. The denial of justice
is therefore an extensive design of the concept of fault heavy and is indicative of malfunction of services of justice due to the responsibility of judges, under the terms of article 4. The requirements of a fair trial within the meaning of article 6 of the European rights Convention of human, and access to justice are not fully met which cause injury to individuals. [...]
[...] The framers of the Civil Code had already thought evoking a criminal sanction against the judge who would commit a denial of justice. Of course, the penalty is not detailed. However, the prohibition of denial of justice is the mark of the rule of law, i.e. the submission of all law, including judges and the State. The judgment rendered by the judge, which responds to the complaint, is the backbone of this system. This duty to deal make effective the right of legal action that article 30 of the new Code of civil procedure defined as follows: the right of the author of a submission, to be heard on its merits so that the judge say well or ill-founded, access to justice is one of the basic rights and fundamental freedoms. [...]
We are seeking compensation under article 700 of the Code of Civil Procedure.
And this is only fair. For the Lorentz family / Moreau
A title of information this fact 1009 days any visit to the PARENT despite the judgments of the Court of appeal of Versailles
Mr Lorentz Emeric and Mrs Moreau Christel

samedi 11 août 2012

in it category ranks the ase and judges for children of Nanterre

in it category ranks the ase and judges for children of Nanterre
It is estimated that 5 to 15% of the adult population has a personality disorder. While all have an or a few personality traits that would benefit change in personality disorder, some traits are invasive and really rigid. They lead to suffering or really hinder adaptation and functioning in various situations.
The DSM - IV (1) defines 10 specific personality disorders:
(1) The paranoid personality is characterized by one suspicious distrust of others whose intentions are interpreted as malicious.
(2) The schizoid personality disorder is characterized by a detachment of social relations and a restriction of the variety of emotional expressions.
(3) The schizotypal personality is characterized by acute discomfort in close relationships, by perceptual and cognitive distortions and eccentric behaviour.
(3) The anti-social personality (or psychopath) is characterized by a disregard and a breach of the rights of others.
(4) The personality limit (borderline) is characterized by a marked impulsivity and instability of interpersonal relationships, the image itself and the affects.
(5) The histrionic personality is characterized by excessive emotional responses and a quest for attention.
(6) The narcissistic personality disorder is characterized by fantasies or grandiose behavior, a need to be admired and a lack of empathy.
(7) The Avoidant Personality is characterized by a social inhibition, feelings of not being at the height and hypersensitivity to negative judgment of others.
(8) The dependent personality is characterized by a subject and "sticky" behavior related to an excessive need to be supported.
(9) The obsessive compulsive personality disorder is characterized by a concern for the order, perfection and control.
There is also the diagnosis of:
Disorder of the personality not specified
Two other personality disorders are not recognized by the DSM - IV but are under consideration: the depressive personality (mode intrusive cognitions and depressive behaviors, to distinguish the diagnoses of depression as such) and passive-aggressive personality (pervasive mode of negativist attitudes and passive resistance to requests to provide adequate performance).
Understanding personality disorders
What is a personality disorder?
What are disorders of the personality of the leaders are not æsir?
your feedback

vendredi 10 août 2012

Kinderklau-Jugendamt Frankfurt Main

Post-fascistes expulsions forcées dans le BRDDR sont le résultat de la fluctuation des droits de l'homme. Nous remercions pro7 pour ce poste. Et faire référence à la « situation juridique de l'application de la loi non judiciaire » dans les cas particulièrement graves du pouvoir judiciaire arbitraire ou de terrorisme d'État.



Postfaschistische Zwangsdeportationen in der BRDDR sind das Resultat fluktuierender Menschenrechte. Wir danken pro7 für diesen Beitrag. Und verweisen auf die "Rechtslage einer außergerichtlichen Strafverfolgung" bei besonders schwerwiegenden Fällen von Justizwillkür oder Staatsterrorismus.

Un juge des enfants vous parle…

Un juge des enfants vous parle…

Antonio FULLEDA , dénonce dans le cadre de ses responsabilités syndicales, la nième future loi qui réforme la justice des mineurs : “c’est comme si on mettait la majorité à 16 ans”.
Et alors!!! lui répondrait l”extrême droite lepéniste . Depuis belle lurette, en effet , celle-ci assimile le jeunesse délinquante à un “fléau” à réprimer au même titre que le trafic de stupéfiants. Le gros baton pour écraser la vermine .Voilà de la politique pénale réaliste et plus on s’y prend tôt mieux c’est , car d’aprés les scientifiques il faudrait combattre un génôme délinquantiel qui donne tout son sens à cette catastrophe sociale qu’est la jeunesse déviante. Exit la responsabilité des adultes !!! “
En définitive on est plus exigeant avec les gosses qu’avec les adultes, prétons l’oreille à ceux qui restent encore et encore dans la protection de la jeunesse, comme le juge FULLEDA interviewé sur son expérience et sa pratique par le journaliste de la Marseillaise Annie MENRAS
AM.« Notre entretien ne porte pas sur le drame de Florensac*(*Une collégienne de 13 ans tuée de deux coups de poing lundi par un adolescent de 14 ans à la sortie du collège.) mais ce dernier ne va-t-il pas dans le sens du gouvernement qui montre du doigt les mineurs ?
AF . L’affaire de Florensac ne colle pas vraiment à celles de gamins multiréitérants, mais les médias ont parfois tendance à exagérer les choses. Par exemple à Narbonne, quand un papy est décédé en raison du ricochet d’une pierre, la presse a fait ses gros titres en employant les mots « lynchage », « lapidation ». Au regard d’un grand nombre d’affaires ainsi exposées on se retrouve face à un sentiment d’insécurité croissant, une sorte de jeu entre l’opinion publique et la presse. Cela n’est pas nouveau pour ce qui concerne la presse qui s’est toujours intéressée aux faits divers. Ce qui est nouveau c’est l’enjeu politique et le discours de disqualification de la parole des professionnels. Quand les deux se rejoignent on n’est pas loin de ce que le syndicat de la magistrature appelle le populisme pénal.
AM .En réalité, la délinquance des mineurs augmente-t-elle ?
AF .Non. Il y a aujourd’hui mille mineurs incarcérés et selon le sociologue Laurent Muchielli le diagnostic qui est présenté de la délinquance des mineurs, n’est ni neutre, ni rationnel, ni fondé. Il ne correspond pas non plus à ce que nous constatons dans nos cabinets de juge des enfants. Dans le mien, les affaires gravissimes se comptent sur les doigts d’une main chaque année. Pour comparer les chiffres, je rappelle qu’une femme meurt tous les deux jours et demi sous les coups de son compagnon. En outre, ce qui empoisonne le quotidien des gens ce sont les incivilités. En réalité, la délinquance des mineurs est devenue un enjeu pour disqualifier les professionnels.
AM .Rien en tout cas qui justifie une nouvelle loi ?
AF .Cette modification de la loi s’inscrit dans le détricotage de l’ordonnance de 1945 avec la volonté de supprimer les tribunaux pour enfants et la spécificité de la justice des mineurs (nés de cette ordonnance) qui est la primauté de l’action éducative, puis la sanction éducative et ensuite s’il le faut la peine. Cette justice est restée basée sur des principes humanistes. Non, rien ne justifie une nouvelle loi.
AM. Une loi dont vous pensez qu’elle risque d’être retoquée par le conseil constitutionnel ?
AF .Il l’a déjà fait en 2002 puis en mars 2011 à propos des comparutions immédiates des mineurs.
AM La justice des mineurs est-elle laxiste ?Pas du tout, elle peut même avoir la main lourde, mais on lui reproche de ne pas embastiller à tour de bras. Et ça marche. Et parallèlement, la justice est obligée de trouver des alternatives à la prison pour les majeurs condamnés à moins de deux ans de prison.
AM. Quel est le bilan des centres éducatifs fermés ?
AF .Ce sont des cocottes minutes tout comme les centres de détention pour mineurs tel qu’il en existe à Narbonne, Nîmes ou Rodez. Dans certains cas, ça peut marcher, mais ça coûte une fortune (500 euros par jour). Et j’ai l’impression que ce n’est pas ce qu’attendent les professionnels de terrain. Ce dont on a surtout besoin, c’est de familles d’accueil. Or, nous ne sommes pas écoutés, on reste sur une législation à l’émotionnel.
AM .Car ces mineurs avant d’être des délinquants sont souvent eux-mêmes en danger ?
AF .Ces mineurs qui ont commis des actes de délinquance sont souvent des enfants qui ont eu des parcours invraisemblables. Intégrer cette donnée c’est ce qui fait la richesse de la justice des mineurs et que certains voudraient supprimer. Un petit pourcentage va s’orienter vers la délinquance pure et dure. Je suis aussi juge d’application des peines et je sais que certains se retrouvent en raison des peines planchers pour des années et des années en prison, mais pour les autres on fait le pari qu’on va les sauver. Par contre le discours sur la tolérance zéro est un leurre. La répression pour la répression c’est la barbarie, comme la liberté pour la liberté, c’est l’anarchie. Il faut trouver un juste milieu et dans ce cadre la Protection judiciaire de la jeunesse fait un super boulot.
AM. Pourquoi veut-on introduire des juges professionnels à la place des assesseurs qui assistent les juges pour enfant ?
AF .L’idée à faire passer est que les tribunaux pour enfants sont laxistes. Ce qui est paradoxal, c’est que d’un côté on veut introduire des jurés populaires dans les tribunaux correctionnels et que de l’autre dans les tribunaux pour enfants on veut supprimer ces assesseurs très intéressés par la protection de l’enfance qui sont d’anciens policiers, professeurs, instituteurs, travailleurs sociaux… Mais je remarque que le Parquet est plus exigeant avec les gosses qu’avec les adultes. Cette loi, c’est comme si on mettait la majorité à 16 ans. C’est une politique qui méconnaît la réalité des juridictions pour enfants (et que dire de l’opinion publique ?) mais qui a d’autres visées, qui en réalité a un enjeu politique. Et électoralement ça a l’air de marcher.
AM .Vous avez peur pour votre métier ?
AF. Juge des enfants c’est le plus beau métier du monde. Nous avons des résultats, des équipes qui travaillent sur la globalité d’un enfant, d’un adolescent, sans le couper en morceau. Mais je n’ai pas peur. Au regard des lois internationales, ce métier n’est pas prêt de disparaître. “
( Avis aux amateurs et amatrices, FULLEDA a raison , on pourrait étendre : un des plus beaux métiers celui de juge )

info Benjamin et de son fils Aureo (sefca puteaux solidaire du papa)

Cédric Fleurigeon http://www.facebook.com/event.php?eid=264268448591 Nous demandons à tous pendant une journée, le samedi 30 janvier 2010 de changer la photo de votre profil par celle de Benjamin et de son fils Aureo Il serait bon de voir fleurir cette photo sur la toile que se soit sur Facebook, MySpace, MSN ainsi que sur tous les méd